Sommaire : Animaux et végétaux:


http://fr.wikipedia.org/wiki/Parc_national_de_Yellowstone

Naturel Critères vii)( viii)( ix)( x Numéro d'identification 28 Année d'inscription 1978 (2 e session

et de nombreuses sources chaudes 3. Il abrite de nombreux grands mammifères: ours noirs, grizzlys, coyotes, loups, élans (orignaux), cerfs ainsi que des troupeaux sauvages de bisons et de wapitis.

Le parc constitue le coeur d'un vaste habitat naturel préservé, l'un des derniers écosystèmes intacts des zones tempérées.

Il est inscrit sur la liste des réserves de biosphère depuis 1976. Il reçoit chaque année la visite d'environ trois millions de personnes 4

Écosystème 5. 2 Flore 5. 3 Faune 5. 3. 1 Réintroduction du loup 5. 3. 2 Bisons 5. 3. 3 Autres mammifères

5. 3. 4 Poissons, reptiles amphibiens et oiseaux 5. 3. 5 Bactéries 6 Tourisme 7 Voir aussi 7. 1 Notes et références 7. 2 Liens internes 7. 3 Liens

externes 7. 4 Bibliographie modifier Formation Adossé aux Montagnes Rocheuses nées du glissement de la plaque Farallon sous la plaque nord-américaine,

ce qui correspond à des vents compris entre 330 et 420 km/h. 61 km de forêt de pins furent abattus 10

5 mètres de hauteur et coulant toute l'année 6. Les eaux thermales ont mis des milliers de siècles à façonner la nature par ruissellement ou,

Des chemins en bois permettent aux visiteurs de s'approcher des sources chaudes de Grand Prismatic Spring

que les scientifiques ont découvert Thermus aquaticus. L'enzyme Taq polymérase de cette eubactérie a permis la mise au point de la PCR

ce qui a pour conséquence la formation de sculptures naturelles de formes diverses, comme par exemple des vasques en cascade.

Ces eaux chaudes facilitent la survie des animaux lors de la période hivernale et font partie d'un écosystème très particulier et très rare sur la planète

Le 10 mars 2004, un biologiste a découvert cinq bisons morts probablement intoxiqués par des gaz toxiques sortis du Norris Geyser Basin.

baptisée ainsi (Roche jaune) par les coureurs des bois et trappeurs canadiens-français qui exploraient et faisaient du commerce dans cette région au XVIII e siècle.

les geysers et les arbres pétrifiés sans trouver beaucoup de crédit 41 En 1857, Jim Bridger revint d'une autre expédition dans la même région

et de services et se déplaçaient à cheval ou en diligence. En 1908, une seconde voie ferrée,

ce qui provoqua des problèmes de circulation avec le transport à cheval, qui fut interdit par la suite 59.

en revanche que les incendies sont un phénomène naturel qu'il ne convient pas d'entraver. De fait

peu d'animaux de grande taille furent victimes des incendies. Les arbrisseaux repoussèrent spontanément, on redécouvrit quelques panoramas intéressants

et de nouvelles découvertes géologiques et archéologiques furent mises au jour. Mais il faudra des dizaines d'années

qui comprend également d'autres réserves naturelles telles que le Parc national de Grand teton et des forêts nationales.

Grâce au programme de réintroduction du loup mis en place dans les années 1990, toutes les espèces

80%de la superficie du Yellowstone est recouverte par la forêt 6. Le reste du parc est constitué de zones humides (5%de lacs,

étangs et cours d'eau) ou tapissé de prairies (15%)6. Les milieux naturels sont différents d'un secteur à l'autre

Le Yellowstone comporte plusieurs centaines d'espèces de plantes et de 186 espèces de lichens 6. Le parc abrite plusieurs espèces menacées (pygargue à tête blanche, grizzli, lynx, grue américaine).

La faune est riche de sept espèces d'ongulés, deux espèces d'ours et environ 50 autres espèces de mammifères 6. 311 espèces d'oiseaux, 18 espèces de poissons, six de reptiles,

quatre d'amphibiens ont été recensées dans le parc 6 modifier Flore Pins tordus Le parc compte environ 1 700 espèces endémiques d'arbres, de plantes et de lichens,

auxquelles il faut ajouter 170 espèces introduites. On peut trouver huit espèces différentes de conifères dont le pin tordu (Pinus contorta) qui est répandu le plus 6. Les autres conifères,

tels que le sapin de douglas ou le pin à écorce blanche sont dispersés dans plusieurs secteurs du Yellowstone. 7%des pins à écorce blanche (Pinus albicaulis) sont affectés actuellement par un champignon, le Cronartium ribicola 67.

Les feuillus les plus fréquents sont le tremble et le saule. Les forêts de trembles ont reculé considérablement depuis le début du XX e siècle;

cependant, d'après une étude de l'université d'État de l'Oregon, la réintroduction du loup a limité la population de wapitis

et arrêté du même coup le déclin du peuplier tremble (Populus tremula) 68. En effet, les wapitis se nourrissent des jeunes pousses de peuplier tremble

et empêchent leur croissance. Les forêts de peupliers et de saules regagnent du terrain. Le retour des arbres le long des cours d'eau pourrait diminuer l'érosion

qui affectent leurs rives Il existe par ailleurs des dizaines d'espèces de plantes à fleur,

dont la plupart éclosent entre mai et septembre 69. La Yellowstone Sand Verbena, une abronie, est une plante à fleur très rare (environ 8 000 specimens)

qui pousse dans le sable des rives du Lac Yellowstone 70 Des plantes invasives menacent les espèces autochtones

en consommant les ressources nutritives. On les trouve surtout dans les secteurs les plus fréquentés par les touristes.

Les responsables du parc consacrent beaucoup de temps et d'énergie à les arracher et à les éliminer 71

modifier Faune Le Yellowstone abrite une soixantaine d'espèces de mammifères parmi lesquelles le loup gris (espèce en danger et réintroduite),

le lynx et le grizzli (espèces menacées) 6. Les autres grands mammifères du parc sont le bison, l'ours noir, le puma, le wapiti, l'élan, le cerf hémione, le pronghorn, la chèvre des montagnes rocheuses et le mouflon canadien

modifier Réintroduction du loup Un loup dans le parc de Yellowstone À la suite d'une loi votée en 1994,

une trentaine de loups 7 capturés au Canada ont été réintroduits dans le parc, après avoir été chassés et disparus de la région dans les années 1930

Au début du XX e siècle, le coyote était devenu l'un des principaux prédateurs. Mais celui-ci ne peut tuer les plus gros herbivores comme les wapitis

qui ont commencé à prospérer, menaçant l'équilibre de l'écosystème. À partir de 1914, le Congrès américain octroya des fonds pour éliminer les animaux nuisibles à l'agriculture et l'élevage,

tels que les loups et les chiens de prairie. Vers 1926,136 loups avaient été tués et l'espèce avait disparu déjà du Yellowstone 72.

Le Service des Parcs nationaux arrêta la chasse au loup en 1935 et le vote de l'Endangered Species Act de 1973 permit d'en faire une espèce protégée 72

Dans les années 1990, des loups de la Vallée du Mackenzie (Canis lupus occidentalis) au Canada ont été relâchés dans le Yellowstone sur une décision controversée de l'U s. Fish and Wildlife Service.

Une action en justice a forcé le Wildlife Service à remettre temporairement les loups sur la liste des espèces menacées 73.

Depuis la réintroduction des loups, la tendance s'est inversée: en 2001, ils étaient environ 130 4. Une étude de 2005 comptait 13 bandes de loups soit 118 individus dans le parc, 326 dans toute la région.

Ces chiffres, inférieurs à 2004, peuvent s'expliquer par la migration des loups vers d'autres régions 74.

Presque tous les individus actuels descendent des 66 loups réintroduits en 1995-1996 74. Le nombre de wapitis a diminué de moitié entre 1995 et 2005 75.

Mais les loups sont craints désormais par les éleveurs de bétail, qui redoutent de les voir proliférer

et s'attaquer à des animaux domestiques: entre 1995 et 2001, les loups ont tué 12 vaches et 50 moutons dans la région 4;

les propriétaires de ranchs sont indemnisés, bien qu'il leur soit souvent difficile de prouver qu'il s'agisse de loups plutôt que de coyotes ou de chiens sauvages.

La réintroduction fut considérée comme une réussite si bien que l'U s. Fish and Wildlife Service enleva le loup de la liste des espèces menacées 76,

ce qui autorise les fermiers à abattre les loups qui s'attaquent aux troupeaux. Mais, sous la pression des organisations écologistes, le loup gris est de nouveau une espèce protégée depuis le 14 octobre 2008 dans trois états du nord des Montagnes Rocheuses (Montana

Wyoming et Idaho) 77. Fin 2008, les États du nord des Montagnes Rocheuses abritaient plus de 1 645 loups répartis en 217 meutes 78

modifier Bisons Bisons pâturant près d'une source chaude Le Yellowstone est un sanctuaire pour les bisons,

présents depuis la préhistoire 79 et récemment sauvés de l'extinction. En 1902, on pouvait compter moins de 50 bisons dans le Yellowstone;

il en restait 3 000 en 1998 4, ils sont aujourd'hui environ 4 000 dans ce parc 79,80.

Chaque année, environ 90 de ces grands mammifères meurent sous les roues des véhicules automobiles 4

Les éleveurs et les propriétaires de ranch de la région redoutent une contamination de leurs troupeaux de bovins par les bisons.

La moitié environ des bisons du Yellowstone ont été exposés à la brucellose, une bactérie originaire d'Europe et

qui provoque des fausses couches parmi le bétail. Cependant, la maladie cause peu de problème parmi les bisons du Yellowstone

et aucun cas de transmission du bison au boeuf n'a été constaté jusqu'à présent. Les services sanitaires (Animal and Plant Health Inspection Service ou APHIS) ont établi

que le bison était susceptible d'être à l'origine de l'infection dans le Wyoming et le Dakota,

de même que le wapiti serait porteur de la maladie et pourrait la transmettre aux chevaux et au cheptel 81

Afin de prévenir tout déclin des troupeaux, les employés forcent les bisons qui s'aventurent en dehors à retourner à l'intérieur du parc.

Pendant l'hiver 1996-1997,1 079 bisons qui étaient sortis du parc ont dû être abattus pour satisfaire les éleveurs 81.

Les protecteurs des animaux considèrent cette pratique comme cruelle et répètent que le risque de contamination du bétail demeure faible.

Ils rappellent également que les terrains de pâture des bisons dans la région se sont réduits au profit de l'élevage.

L'APHIS fait valoir que la brucellose peut être éradiquée parmi les animaux du Yellowstone grâce à la vaccination 81

modifier Autres mammifères Un grizzly dans le parc de Yellowstone Le parc abrite plusieurs autres espèces animales représentant très bien la faune du continent nord-américain.

Le visiteur pourra ainsi apercevoir le cerf de virginie 82, le mouflon canadien, la marmotte Le grizzli (Ursus arctos horribilis) n'est considéré plus depuis 2007 comme une espèce menacée au Yellowstone 83.

En effet, la population de grizzlis, qui était estimée entre 136 et 312 individus en 1975, dépasse aujourd'hui le seuil des 500 individus 83.

Certains craignent que ce déclassement entraîne l'autorisation de chasser le grizzli qui menacerait à nouveau l'animal 84.

On compte par ailleurs plus de 600 ours noirs dans le parc 85 Aucun lynx n'a été observé directement dans le Yellowstone depuis 1998,

même si les analyses de l'ADN de poils en 2001 ont confirmé que le félin traverse le parc 86.

En 2003, des traces d'une femelle et de son petit ainsi que des déjections fécales ont été identifiées

Il y a environ 25 pumas dans le parc 87. Le carcajou est également très rare et on ignore son effectif 88

La population de wapitis est estimée à 30 000 dans le Yellowstone. Les troupeaux du nord ont considérablement diminué depuis la réintroduction du loup en 1995 89.

Les troupeaux du sud passent l'hiver dans le National Elk Refuge qui se trouve juste au sud du Parc national de Grand teton. Cette migration de mammifères est la plus importante des États-unis, en dehors de l'Alaska

Les activités économiques et les installations humaines perturbent la migration des pronghorns (Antilocapra americana) dans la région du Yellowstone.

Leur population estimée est comprise entre 200 et 300 individus 90 modifier Poissons, reptiles, amphibiens et oiseaux

18 espèces différentes de poissons vivent dans le Yellowstone 6, 91. Depuis 2001, les pratiquants de la pêche sportive d ivent relâcher leurs prises dans les cours d'eau ou les lacs 91.

Parmi les six espèces de reptiles vivant dans le parc peuvent être cités le crotale et la tortue peinte.

Quatre espèces d'amphibiens sont recensées également, dont la Rainette faux-grillon boréale (Pseudacris maculata) 92

311 espèces d'oiseaux sont présentes au Yellowstone et la moitié y niche 6. En 1999,26 couples de pygargues à tête blanche ont été recensés.

Les grues blanches restent extrêmement rares et demeurent une espèce menacée 93. D'autres oiseaux sont assez rares et surveillés comme le plongeon huard, l'arlequin plongeur, le balbuzard pêcheur, le faucon pèlerin, le cygne trompette 12,94 ou le pélican blanc d'Amérique 95

modifier Bactéries Castle Geyser, Yellowstone Des bactéries thermophiles et des cyanobactéries vivent autour des geysers

et des sources d'eau chaude du parc et leur donnent des couleurs variant du bleu au jaune

en passant par le rouge. Moins d'un pour cent des micro-organismes du parc ont été identifiés à ce jour 96.

Certains de ces micro-organismes vivent dans des conditions extrêmes. On en a retrouvé par exemple dans l'environnement acide et chaud (70°C) du Norris Geyser Basin 97

Les bactéries qui tapissent les sources chaudes forment des amas de plusieurs milliards d'individus.

Ces bactéries constituent les formes de vie les plus primitives de la planète. Des mouches et d'autres arthropodes sont présents dans ce milieu y compris pendant l'hiver.

Pendant longtemps, les chercheurs pensaient que ces bactéries vivaient grâce au soufre; mais en 2005, des scientifiques de l'Université du Colorado de Boulder ont mis en évidence le rôle de l'hydrogène dans le développement de ces bactéries 98

Thermus aquaticus est une bactérie thermophile qui a été décrite par Thomas Brock en 1969. Il s'agit d'une bactérie gram-négative, aérobie et hétérotrophe

qui produit une enzyme utilisée en laboratoire pour diagnostiquer des maladies génétiques et infectieuses, ainsi que pour déterminer une empreinte génétique.

Les scientifiques étudient d'autres bactéries présentes dans le Yellowstone dans l'espoir de trouver de nouveaux remèdes et traitements médicamenteux 99

modifier Tourisme Carte touristique du Yellowstone Article détaillé: Circuits du Parc national de Yellowstone Le Yellowstone est l'un des parcs nationaux les plus célèbres aux États-unis. Depuis le milieu des années 1960,

le parc national de Yellowstone reçoit chaque année plus de deux millions de visiteurs 100, dont 160 000 en hiver (chiffre 2001) 4. En 2009,3 295 187 touristes visitent le parc

ce qui le place en quatrième position des parcs nationaux américains les plus visités 1. Ces touristes, à 20%Européens,

y dépensent chaque année 80 millions de dollars (2001) 4. En période estivale, 3 700 personnes travaillent dans le parc pour accueillir la clientèle.

Des concessionnaires gèrent neuf hôtels pour un total de 2 238 chambres. Ils gèrent également des stations services

des magasins et des campings. 800 employés de plus travaillent de façon saisonnière ou permanente pour le National Park Service 101

Les touristes viennent admirer les geysers, les fumerolles, les sources d'eau chaude, le grand canyon, les forêts et les espaces sauvages,

ainsi qu'un grand lac. Ils pratiquent le kayak, la randonnée, la pêche. Ils peuvent également observer les grands mammifères comme les bisons (surtout en hiver et au printemps 102), les élans, les wapitis et les mouflons.

Il y a également des pumas, des loups et des coyotes, mais leur observation est plus rare.

Les amoureux des sports d'hiver peuvent y pratiquer le ski de fond Le parc de Yellowstone dispose en outre d'un important patrimoine historique:

plus de mille sites, six National Historic Landmarks, des collections totalisant 200 000 objets 6 sont visibles dans le parc.

Le National Park Service gère neuf musées et centres pour visiteurs tout en étant responsable de 2 000 bâtiments historiques ou autres.

Un de ces hôtels nommé Old Faithful Inn est un National Historic Landmark depuis 1987.

L'hôtel fut construit entre 1903 et 1904. Un circuit historique au départ de Fort Yellowstone décrit l'histoire du parc et du service national des parcs.

Des feux de camps, des randonnées guidées et des visites d'interprétation sont présentes en de nombreux endroits surtout en été.

Les directives appliquées par les rangers, sont très contraignantes (obturer les poubelles pour qu'elles n'attirent pas les ours,

cacher les enseignes publicitaires pour ne pas dénaturer le paysage, etc.).Le prix des chambres est contrôlé pour permettre au plus grand nombre de pouvoir accéder au parc

Les lieux les plus intéressants et les plus fréquentés sont reliés par la Grand Loop Road,

route parcourant tout le parc 103. Les routes sont restaurées pendant les périodes climatiques les plus favorables,

c'est-à-dire au printemps et en été. Les routes du parc sont accessibles aux véhicules équipés pour la neige entre mi-décembre et début mars 40.

Il existe environ 500 km de routes asphaltées et cinq entrées pour accéder au parc 101.

Le tarif, valable pour une durée de sept jours, varie en fonction du véhicule: 25 $ pour une voiture personnelle non commerciale, 12 $ pour un randonneur ou un cycliste et 20 $ pour une moto.

Ces frais d'entrée permettent de visiter aussi le parc national du Grand teton situé juste à la sortie sud du Yellowstone.

Il n'existe par contre pas de transports publics mais quelques compagnies réalisent des visites guidées motorisées.

En hiver, les concessionnaires organisent des excursions en motoneiges et en autoneiges 104. Les infrastructures du Old Faithful, du Canyon et de Mammoth Hot Springs sont fréquentées très en été.

Des embouteillages causés par les travaux routiers ou par la présence d'animaux sauvages le long des routes peuvent provoquer de longues périodes d'attente sur les routes

Paysage du parc Plus de 2 000 emplacements existent pour camper. Le camping est également possible dans les forêts entourant le parc tout comme dans le parc national du Grand teton situé un peu plus au sud.

Des campings isolés sont également accessibles à la marche ou à cheval mais nécessitent de disposer d'un permis.

Il existe près de 1 770 km de circuits de randonnées 105. Le parc n'est considéré pas comme une destination pour faire de l'alpinisme à cause de l'instabilité des roches volcaniques

qui représentent par conséquent un danger. Les animaux domestiques doivent être tenus en laisse et leur présence n'est acceptée que dans des zones bien définies et proches des routes 106.

Autour des geysers des pontons en bois ont été aménagés pour sécuriser l'accès des visiteurs et pour faciliter l'accès des personnes handicapées.

Une clinique tenue par le National Park Service permet de donner les premiers soins toute l'année 107

La chasse est interdite dans le parc alors qu'elle est autorisée dans les forêts environnantes en période de chasse.

La pêche est possible à condition de posséder un permis délivré par le personnel du parc 108.

Il est interdit de naviguer sur les rivières sauf pour les engins non motorisés sur une portion de 8 km de la rivière Lewis. Le lac Yellowstone dispose d'un port de plaisance

ce qui en fait une destination populaire pour s'adonner aux plaisirs nautiques 109 Les autres zones protégées de la région sont les forêts nationales de Caribou-Targhee, Gallatin, Custer, Shoshone.

Au nord-est du parc, il est possible de rejoindre par route les Beartooth Mountains 110.

La ville de Salt lake city se situe à environ 500 km au sud du parc et constitue la zone urbaine importante la plus proche du parc

modifier Voir aussi modifier Notes et références #à et b (en) Statistiques des parcs, National Park Service, 2009.

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Consulté le 24 juin 2007#a b c et d (fr) Christiane Galus, La surface du supervolcan de Yellowstone s'est soulevée de 18 centimètres depuis 2004, dans Le monde du 10-11-2007, lire en ligne#a b c d e f g h i j k l, m, n, o, p, q, r, s et t

(en) Yellowstone Fact Sheet, Parc national de Yellowstone. Consulté le 22-08-2007#a et b Pierre Gouyou beauchamps

Au coeur des parcs américains, dans Terre sauvage (ISSN 0981-4140), n o 223,(décembre 2006-janvier 2007), p. 26#a b c, d et e (en) Yellowstone National

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Consulté le 30-08-2007#Jean-yves Montagu, L'Ouest américain, éditions du Chêne-Hachette livre, 1996,(ISBN 9782842770051), p. 24#John Wingfield, L'Amérique des Rocheuses

A qui appartient la nature?,La Vie des idées, 21 janvier 2008#Philippe Jacquin, Montagnes du rêve, dans Grands Reportages, juin 1996, n°173, p. 95#pdf (en) Kiki Leigh

Consulté le 01-04-2007#Jean-yves Montagu, L'Ouest américain, éditions du Chêne-Hachette livre

Consulté le 13-03-2007#(fr) La réintroduction du loup permet le retour du"peuplier tremble"dans le Yellowstone, Biodiversité 2007.

Consulté le 13-03-2007#(en) Yellowstone Sand Verbena, National Park Service, 20 juillet 2006.

Consulté le 13-03-2007#(en) pdf Exotic Vegetation Management in Yellowstone National Park, National Park Service, 01-02-2006.

Un juge américain réinstaure la protection des loups dans les Rocheuses, in Le monde du 15-10-2008,

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Consulté le 01-04-2007#a b et c (en) Brucellosis and Yellowstone Bison, Animal and Plant Health Inspection Service.

Consulté le 16-03-2007#John Wingfield, L'Amérique des Rocheuses, éditions Dursus (Larousse), 1986,(ISBN 2-03-503118-4),

Consulté le 22-08-2007#(en) Maryann Mott, Bald Eagle, Grizzly: U s. Icons Endangered No More?

Consulté le 19-03-2007#Kiki Marmori, Les Ours, Paris, Nathan, 2003, p. 16#(en) Tiffany Potter, Reproduction of Canada Lynx Discovered in Yellowstone

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Consulté le 22-08-2007#(en) Microbes In Colorful Yellowstone Hot Springs Fueled By Hydrogen

Consulté le 13-10-2007#Jean-yves Montagu, L'Ouest américain, éditions du Chêne-Hachette livre, 1996,(ISBN 9782842770051),

#Lake Clark#Mammoth Cave#Mesa verde#Montagnes Rocheuses#Mont rainier#North Cascades#Olympique#Petrified Forest#Redwood#Saguaro#Samoa américaines#Sequoia#Shenandoah#Theodore

Monuments nationaux#Forêts nationales#National Wildlife Refuges v d m Patrimoine mondial aux États-unis Culturel

Naturel Parc national de Yellowstone (1978) Kluane/Wrangell-St Elias/Glacier Bay/Tatshenshini-Alsek (avec le Canada)( 1979) Parc national des Everglades (1979) Parc national du Grand canyon (1979) Parc national

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http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9chauffement_climatique

En Antarctique 2. 4 La fonte du pergélisol 2. 5 Le recul des glaciers de montagne 2. 6 Les pratiques agricoles 2. 7 Faune et flore 2. 8 Cyclones

3 Forêt et sylviculture 6. 4 L'accès à l'Océan arctique 6. 5 Économie 6. 6 Santé 6. 7 Une déstabilisation géopolitique mondiale 6. 7

De nombreux arbres gelèrent jusqu'à l'aubier, et la vigne disparut de plusieurs régions de la France,

modifier Faune et flore Plusieurs équipes de chercheurs ont observé une modification de l'aire de répartition de différentes espèces animales et végétales.

Dans certains cas, en particulier lorsque cette aire se déplace vers le nord ou vers de plus hautes altitudes,

Par exemple, l'extension actuelle de l'aire de répartition de la chenille processionnaire du pin,

Le suivi temporel des oiseaux communs (STOC) 44 montre par exemple qu'en vingt ans, les communautés d'oiseaux en France se sont déplacées globalement de 100 km vers le nord 45

modifier Cyclones tropicaux Anomalie climatique, le cyclone Catarina fut observé le premier au dessus de l'Atlantique dans l'hémisphère sud

L'effet de serre est un phénomène naturel: une partie du rayonnement infrarouge émis par la Terre vers l'atmosphère terrestre reste piégée par les gaz dits à effet de serre,

%le secteur forestier à 17,4%;%l'agriculture à 13,5%;%les transports à 13,1%;%les habitations à 7, 9%;

Les modèles numériques ont été utilisés pour estimer l'importance relative des divers facteurs naturels et humains au travers de simulations menées sur des supercalculateurs,

la modification de la réflectivité de la surface terrestre#l'albédo#par la déforestation, l'avancée des déserts, l'agriculture, le recul des glaces, neiges et glaciers,

comme la déforestation et la production de dioxyde de carbone par combustion de matière fossile. D'autres sont naturelles,

comme l'activité solaire ou les émissions volcaniques modifier Résultats Les simulations climatiques montrent que le réchauffement observé de 1910 à 1945 peut être expliqué par les seules variations du rayonnement solaire (voir changement climatique) réf. nécessaire.

En 2003, l'American Geophysical Union affirme que les influences naturelles ne permettent pas d'expliquer la hausse rapide des températures à la surface du globe 66.

et attribuent le réchauffement à des causes naturelles 69, par exemple liées à l'activité naturelle du Soleil.

et sont en général de nature probabiliste. Les projections climatiques sont basées sur des modèles climatiques et répondent à divers scénarios d'émissions de gaz à effet de serre,

en comparant les changements climatiques observés avec les changements induits dans ces modèles par différentes causes, naturelles ou humaines

Ces modèles sont l'objet d'incertitudes de nature mathématique, informatique, physique, etc. Les trois principales sources d'incertitude mentionnées par les climatologues sont

et l'étude de Detlef Quadfasel publié dans Nature en décembre 2005 démontre que une partie de la différence de climat semble résider dans le fait

Toutefois, selon une lettre envoyée au journal Nature, ces réchauffements ne s'observent que localement.

les États-unis ont inscrit l'ours blanc d'Alaska sur la liste des espèces menacées 85.

Le réchauffement pourrait induire un effet rebond irréversible à échelle humaine de temps s'il amorce des incendies de forêts réf. nécessaire et un dégazage important de méthane des pergélisols et fonds marins.

et sous l'action de bactéries, un processus nommé méthanisation. Les sols humides (marais) sont très propices à cette création de méthane,

Le développement de la végétation: dans certaines régions, le réchauffement climatique pourrait être favorable au développement de la végétation,

qui est un puits de carbone, ce qui contribuerait à limiter l'augmentation des gaz à effets de serre. Le rôle de la vapeur d'eau:

en modifiant la biodiversité. D'après le Giec, la capacité de nombreux écosystèmes à s'adapter naturellement sera dépassée probablement par la combinaison 95 sans précédent des

inondations, incendies de forêts, sècheresses, insectes, acidification des océans; changements mondiaux: changements d'affectation des sols (déboisement, barrages, etc.

pollution, surexploitation des ressources. Le déséquilibre naturel qui s'en suivra pourrait entraîner la disparition de plusieurs espèces animales et végétales.

C'est une préoccupation dont les États, comme la France 96, commencent à tenir compte. Pour l'ensemble des populations humaines, ces effets physiques et écologiques auront de fortes répercussions.

mais le bilan du réchauffement climatique en termes de biodiversité sera négatif selon un certain nombre d'études 97,98, 99 et selon le consensus du 4 e rapport du Giec

certains systèmes naturels seront affectés plus que d'autres par le réchauffement planétaire. Les systèmes les plus sensibles seraient:

les glaciers, les récifs coralliens, les mangroves, les forêts boréales et tropicales, les écosystèmes polaires et alpins, les prairies humides.

les dommages causés aux systèmes naturels, que ce soit par leur ampleur géographique ou leur intensité, seront proportionnels à l'intensité et à la rapidité du réchauffement planétaire.

La végétation connaitrait une remontée vers le nord. L'épicéa risquerait de disparaitre du Massif central et des Pyrénées. Le chêne,

très répandu dans l'Est de la France, verrait son domaine réduit au Jura et aux Vosges,

mais le pin maritime, actuellement implanté sur la façade Ouest, s'étendrait sur la moitié ouest de la France

et le chêne vert s'étendrait dans le tiers sud, marquant une étendue du climat méditerranéen b 4, 107

telles que celle de l'olivier, pourraient s'implanter dans la vallée du Rhône. On peut désormais trouver des oliviers en tant qu'arbres d'ornement sur toute la façade sud-ouest de l'Océan atlantique,

et ce jusqu'en Vendée. Par contre, faute d'eau suffisante, la culture du maïs serait limitée à la partie nord et nord-est du territoire.

les plantes cultivées auraient du mal à s'adapter et on pourrait craindre des difficultés agricoles b 5,

mais des signes de dépérissement forestier semblent déjà visible dans ces zones On ignore aussi à partir de

Des organismes tels que levures ou plantes (ex: Arabidopsis thaliana) sont-grâce à une seule protéine (histone H2a.

Z) pour l'arabette-sensibles à des variations de température de moins de 1°C,

et se demande si l'utilisation intégrale des plantes, telle qu'elle est prévue dans le cadre des biocarburants de la deuxième génération,

modifier Forêt et sylviculture Selon une étude conduite par Thomas Veblen 119, professeur de géographie à l'Université du Colorado,

coauteur avec l'Institut de géophysique américain, menée sur des parcelles forestières de l'ouest des États-unis sur les périodes 1955/1994 et 1998/2007, en 30 ans, un réchauffement moyen de 0,

5°C a doublé déjà le taux de mortalité des arbres des grandes forêts de l'ouest américain,

et pullulations de ravageurs (dont scolytes qui ont par exemple détruit environ 1, 4 million d'hectares de pins dans le nord-ouest du Colorado

Selon cette étude, le manque de neige induit un déficit hydrique et un allongement des sècheresses estivales, avec multiplication des incendies,

ce qui laisse craindre des impacts en cascade sur la faune et les écosystèmes L'augmentation de la mortalité touche des arbres (feuillus et conifères) de toutes les tailles et différentes essences et à toutes les altitudes.

Dans le nord-ouest américain et le sud de la Colombie britannique (Canada), le taux de mortalité dans les vieilles forêts de conifères a doublé même en 17 ans (c'est une fois et demie plus rapide

que la progression du taux de mortalité des arbres des futaies californiennes où ce taux a été multiplié par deux en 25 ans).

L'accélération de la mortalité a été moindre dans les forêts de l'ouest ne bordant pas le Pacifique (dans le Colorado et l'Arizona),

mais un doublement de ce taux de mortalité finira par réduire de moitié l'âge moyen des arbres des futaies, entraînant une diminution de leur taille moyenne, estime T Veblen

qui craint aussi une moindre fixation du CO 2 de l'atmosphère et qui appelle à envisager de nouvelles politiques permettant de réduire la vulnérabilité des forêts et des populations, notamment

en limitant l'urbanisation résidentielles dans les zones vulnérables En France, selon les prévisions de l'INRA, plusieurs essences ne survivront pas dans la moitié sud de la France

et plusieurs ravageurs des arbres pourraient continuer à remonter vers le nord modifier L'accès à l'Océan arctique

comme le plancton ou les poissons à haute valeur commerciale L'accès à ces matières premières en des zones désormais accessibles risque d'être source de conflit entre pays côtiers de l'Océan arctique d 5. Ainsi,

tels que la mortalité associée à la chaleur en Europe, les vecteurs de maladies infectieuses dans diverses régions et les allergies aux pollens aux latitudes moyennes et élevées de l'hémisphère nord c 2

Des températures élevées dans les régions chaudes pourraient réduire l'extension du parasite responsable de la bilharziose.

On constate également que les moustiques et les maladies qu'ils transmettent ont gagné en altitude d 6

incendies de forêts, augmentation probable de l'intensité des cyclones, acidification des océans, déplacement des espèces, fonte des glaciers et calottes polaires, impacts économiques et géopolitiques majeurs. la pression humaine amplifiée par la surpopulation:

régression et dégradation des sols (déforestation, barrages, nouvelles cultures et organismes génétiquement modifiés), pollution, surexploitation des ressources.

et biodiversité modifier Notes et références modifier Notes #Le Perito Moreno en Argentine, par exemple, est un des rares glaciers en avancée.

Nature Geosciences; Février 2009#(en) metoffice. Consulté le 2009-01-20#a b c, d, e, f, g, h et i W. Collins, R. Colman, J. Haywood, M. Manning et Ph.

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Grape ripening as a past climate indicator, dans Nature, Brief communications re série, vol. 432,18 novembre 2004 pdf texte intégral (page consultée le 30 juillet 2008).#

La chenille processionnaire du pin remonte vers le nord à la vitesse moyenne de 55,6 km par décade, INRA, 2005.

Consulté le 2008-07-30#Lettre d'information du muséum, octobre 2005#Frédéric Jiguet, Les oiseaux, révélateurs du réchauffement, Pour la Science, n o 379, mai 2009.

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Consulté le 2009-1226#Assessment Report, GIEC groupe II, 4ième rapport, p. 37,2007#Actes de l'audition publique La biodiversité:

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perturbe la structuration des peuplements de poissons#(en) Paul Reiter, Dangers of disinformation, 11 janvier 2007.

Z-containing nucleosomes mediate the thermosensory response in Arabidopsis, Cell, vol. 140, pp. 136-147,2010#Brève du journal Pour la Science (par Jean-jacques perrier, 2010/01/25

a predictable rate consistent with emissions of CO2 from fossil origin. Note that changes in the 13c/12c ratio of atmospheric CO2 are also caused by other sources and sinks, but


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